Ho anareo Andriambavilanitra mpanao tononkalo.
Nampidirin'i ikalamako | 16 Nov, 2007Miala tsiny amin'i DadaRabe sy ny rakoto rehetra eto aho androany fa hanavaka kely ny Andriambavilanitra ary indrindra ireo rehetra mampirenty ity blaogy ity amin'ny tononkalony,
ka atolotro azy ireo ity hiran'andriambavilanitra toa anay ity :
Hiran'i Fiorella Mannoia, "Quelle che le donne non dicono".
(miala tsiny raha teny frantsay no nandikako azy fa haingana sy mora kokoa noho izy ireo zanak'olo-mirahavavy)
"Ce que les femmes ne disent pas"
Elles nous font compagnie certaines lettres d’amour
Paroles qui restent avec nous,
et jamais nous nous en allons
mais nous cachons de la douleur
qui glisse ; nous la sentirons après.
Nous avons trop de fantaisies, et si nous disons une mensonge
C’est une vérité manquée qui arrivera tot ou tard
Le vent change mais nous non
Et si nous nous transformons un peu
C’est pour l’envie de plaire à qui y est déjà ou pourra venir rester avec nous
Nous sommes ainsi
C’est difficile à expliquer
Certaines journées amères, laisse tomber, d’ailleurs tu pourrais nous trouver ici
Avec nos nuits blanches,
mais nous serons pas fatiguées, meme quand nous te dirons encore un autre “oui”
Vite vite s’en vont des journées sans fin,
Silence ; quelle familiarité!
Et les phrases d' enfant laissent des traces
Qui tourneront. Mais qui les entendrait?
Et, des voitures, pour nous,
Les compliments du playboy
Mais nous ne les entendons plus
S'il y a celle qui n’en peut plus,
Le vent change mais nous non
Et si nous nous confondons un peu
C’est pour l’envie de comprendre ce qui ne réussit plus à parler
Encore avec nous.
Nous sommes ainsi, douces compliquées
Toujours plus émotionnées, délicates
Mais tu pourrais nous trouver encore ici,
Dans les soirs de tempete
Amène-nous des roses
Des nouvelles choses
Et nous te dirons encore un autre “oui”
C’est difficile à expliquer
Certaines journées amères, laisse tomber, d’ailleurs tu pourrais nous trouver ici
Avec nos nuits blanches,
mais nous serons pas fatiguées, meme quand nous te dirons encore un autre “oui”